Face à ce qui s’apparente à une banalisation de la haine du Bamiléké, le gouvernement camerounais semble avoir renoncé à assumer son rôle régalien de régulateur de la parole publique. Plutôt que de condamner la diatribe anti bamiléké savamment entretenue par certains médias et leaders d’opinion, le régime de Yaoundé semble a instauré autour du bami bashing le règne total de l’impunité.
Lors d’une de ses nombreuses séances de prestidigitation sur la chaine de télévision camerounaise, Info Tv, Elimbi Lobe faisait joyeusement mention . . .