Il y avait du beau monde au Collège Jean de Brébeuf de Montréal : des hommes, des femmes et des jeunes gens, venus en masse gonfler les rangs de l’ultime session (pour l’année 2024) de l'assemblée générale des Bamiléké du Canada, réunis au sein de l'association Binam.
Rendez-vous-prétexte au cours duquel le nouveau bureau (élu quelques semaines plus tôt) allait dévoiler ses ambitions et soumettre ses orientations stratégiques à la censure du peuple.
Sans faux fuyant(s), les langues se sont . . .