C'est justement, est-on tenté de penser, la crainte de céder cette nouvelle niche d'expansion au - jusqu'à l'arrivée de Donald Trump susceptible de changer quelque peu la donne - damné co-leader autoproclamé de l'autre ordre mondial, avec la Chine, qui devrait pousser l'Amérique, malgré tout, à s'inviter au festin africain. À première vue : que nenni !
Remarquable, par exemple, le fait que le groupe bancaire Citi, l'un des plus grands au pays de l'Oncle Sam, ait choisi justement cette période pour s'éclipser subrepticement de la carte bancaire africaine, du . . .